Le tireur se trouve face à un écran large de plus de 6 mètres sur lequel sont projetées des images représentant des animaux se déplaçant à différentes distances et dans des directions variées au milieu d’un décor naturel en image.
Le tireur tire au moyen d’une arme test conformée à sa morphologie ou avec sa propre arme dont le canon sera équipé d’une caméra gyroscopique et dont la queue de détente sera munie d’un capteur.
La caméra et capteur sont reliés à l’ordinateur qui intègre le calibre de l’arme et la munition au choix de chacun.
L’analyse détaillée du tir est visible sous la forme d’un corbe projetée sur l’écran, montrant la vitesse et le déplacement de l’animal ou de la cible, la vitesse et les mouvements des canons, les vitesses des munitions choisies, ainsi que l’endroit visé et le point d’impact.
Le RSHCB propose la mise à disposition du simulateur ST 2 avec l’aide de 2 moniteurs de tir comprenant un écran démontable de 6 mètres de longueur x 2,5 mètres de hauteur.
Surface minimum souhaitée : d’environ 5 x 7 mètres avec une hauteur de 3 mètres
Une séance de 3 heures peut correspondre à plus de 600 tirs avec analyses.
Une demi-journée, soit 3 heures sur place : 750 €
Une journée, soit 6 heures sur place : 950 €
Weekend ou/et plusieurs jours : sur demande
Infos auprès du secrétariat du RSHCB, au 081/30 97 81 ou via info@rshcb.be.
L'AFSCA lance un appel aux chasseurs : « Pensez à ne pas chasser dans les zones à risques pour la peste porcine africaine »
Plus d'informations : ICI
De nombreux chasseurs s’interrogent sur les risques que la maladie de la langue bleue fait courir aux grands ongulés sauvages de nos forêts. Interrogée par nos soins, la professeur Annick Linden, du laboratoire de la Faune sauvage de l’Université de Liège, nous donne les précisions suivantes :
La maladie de la langue bleue est une maladie virale (Orbivirus) qui concerne les ruminants et qui est transmise par de petits insectes, des culicoïdes.
En toute logique, les cervidés sont ou vont être infectés, comme pour le BTV_8, mais jusqu'à présent, aucun évènement de mortalité ne nous a été rapporté. Il faut rester vigilant, car la virulence peut varier d'un sérotype à l'autre.
Les chasseurs qui trouveraient un ou plusieurs cadavres de mouflon, cerf ou chevreuil sont invités à les déposer dans congélateurs disposés en Wallonie à cet effet : http://www.faunesauvage.be/faune-sauvage/?page_id=9229
La peste porcine africaine est à notre porte : ICI
Le Jardin extraordinaire (RTBF - 17/11/2024)
Notre jardin extraordinaire : Les secrets du photographe animalier