Le 3 octobre 2018
Les signes les plus importants à connaître sont :
- le sanglier erre lentement comme perdu, semble endormi et ne fuit pas en courant devant l’homme. Il cherche plutôt à se cacher.
- il tousse et sa difficulté à respirer engendre des bruits.
- sur ses fins, il se couche pour mourir dans un endroit isolé, hors de ses voies habituelles, par exemple dans une remise, éventuellement près de l’eau.
Attention : aucun symptôme n’est révélateur à 100 %. Il y a un très grand nombre de symptômes possible, soit isolés soit cumulés, ceux-ci-dessus ne sont que quelques exemples. Seul un laboratoire est en mesure de confirmer ou d’infirmer le diagnostic.
Lire la suiteLe 3 octobre 2018
A ce jour 28 carcasses de sanglier sont infectées toujours dans un espace territorial de /- 2.500 ha.
Lire la suiteLe 29 septembre 2018
A ce jour 49 carcasses de sanglier ont été analysées et 21 sont infectées.
Les 21 cas infectés se situent toujours dans un espace territorial de /- 2.500 ha.
Lire la suiteLe 28 septembre 2018
Bilan au 27 septembre 2018 :
2 nouveaux cas au SO de Buzenol ont agrandi légèrement la zone qui se rapproche de la N87
Dans la zone infectée (ZI) : 18 cas positifs sur 36 testés.
L’espace territorial de découvertes de carcasses positives est maintenant de 2494 ha
Recommandations hors la zone PPA de 63.000 hectares en présence d’un sanglier suspect :
1. Le localiser avec précision
2. Prévenir immédiatement le DNF et le 1718
3. Ne pas le toucher et s’il est vivant, ne pas le faire fuir ni l’abattre
4. Tenir toute autre personne éloignée du lieu
Le 27 septembre 2018
AGW du 27/09/18 : ICI
Lire la suiteLe 25 septembre 2018
Le RSHCB a rencontré ce lundi 24 septembre le Ministre René Collin, le DEMNA et le DNF.
Lors de cette réunion, diverses propositions suivantes ont été faites par les chasseurs.
Lire la suiteLe 25 septembre 2018
A ce jour 28 carcasses de sanglier ont été analysées et 14 sont infectées.
Les 14 cas infectés se situent dans un espace territorial de 2.400 ha et les derniers cas positifs ont été détectés à Ethe et dans le camp militaire de Lagland.
Lire la suiteLe 24 septembre 2018
24/09/2018. L'Union Professionnelle du RSHCB a déposé plainte avec constitution de partie civile contre X, visant notamment les infractions d'empoisonnement aux animaux et, pour autant que de besoin, de lâchers de sangliers
Lire la suiteLe 21 septembre 2018
Lire la suiteLe Kit Réussir 2025 est disponible :
- Un manuel d’un format A5 pratique à emporter et d’un usage facile par sa structure et ses nombreuses illustrations.
- Un support interactif en ligne (SIEL) avec plus de 500 questions d’examen
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L'AFSCA lance un appel aux chasseurs : « Pensez à ne pas chasser dans les zones à risques pour la peste porcine africaine »
Plus d'informations : ICI
De nombreux chasseurs s’interrogent sur les risques que la maladie de la langue bleue fait courir aux grands ongulés sauvages de nos forêts. Interrogée par nos soins, la professeur Annick Linden, du laboratoire de la Faune sauvage de l’Université de Liège, nous donne les précisions suivantes :
La maladie de la langue bleue est une maladie virale (Orbivirus) qui concerne les ruminants et qui est transmise par de petits insectes, des culicoïdes.
En toute logique, les cervidés sont ou vont être infectés, comme pour le BTV_8, mais jusqu'à présent, aucun évènement de mortalité ne nous a été rapporté. Il faut rester vigilant, car la virulence peut varier d'un sérotype à l'autre.
Les chasseurs qui trouveraient un ou plusieurs cadavres de mouflon, cerf ou chevreuil sont invités à les déposer dans congélateurs disposés en Wallonie à cet effet : http://www.faunesauvage.be/faune-sauvage/?page_id=9229
Le Jardin extraordinaire (RTBF - 17/11/2024)
Notre jardin extraordinaire : Les secrets du photographe animalier